En Nouvelle-Zélande sur le Te Araroa – Île du Sud

Du 2 novembre 2024 au 26 mars 2025, nous avons parcouru, tantôt à pied, tantôt en véhicule les paysages grandioses de la Nouvelle-Zélande. Le but principal du voyage était la longue randonnée en autonomie complète sur le sentier Te Araroa qui traverse le pays du nord au sud.

Nous présentons dans cet article le compte rendu de notre périple sur l’Île du Sud. Un autre article présente l’Île du Nord. Au fil des semaines, nous avons partagé sur notre page Facebook – Derrière l’horizon, divers carnets de voyage. Nous regroupons dans ces articles les 14 carnets en gardant le texte et les photos originales.

Introduction

Le Te Araroa (The long pathway en anglais) est un sentier de longue randonnée pédestre de quelque 3 000 kilomètres qui traverse la Nouvelle-Zélange du nord au sud, de Cape Reinga à l’extrémité nord du pays à Bluff à l’extrême sud. nous l’avons parcouru sur une grande partie en transportant dans notre sac à dos, notre matériel de camping, nos vêtements et notre nourriture. Voici donc, notre récit sur l’Île du Sudd, tel que nous l’avons partagé en cours de route.

Les carnets 1 à 9 de l’Île du Nord se trouvent ici.

Tracé du Te Araroa sur les deux îles de la Nouvelle-Zélande

Carnet 10 – du 9 au 18 janvier 2025, de Ship Cove à Nelson

18 janvier 2025, jour 78, distance cumulative: 1 889 km.

L’entrée sur l’Île du Sud a été fertile en émerveillement et en rebondissements. Ce ne fut pas de tout repos.

La traversée du détroit de Cook pour se rendre de Wellington à Picton fut douce et paisible, la météo nous étant favorable. Dès que nous mettons pied à terre, nous embarquons dans un « water taxi » qui nous amènera à Ship Cove, là où se poursuit le Te Araroa sur l’Île du Sud.

Nous allons traverser les Marlborough Sounds par le Queen Charlotte Track. Un bijou de sentier qui traverse une région d’une grande beauté. Les « sounds » sont des vallées remplies par l’eau de la mer. Tout le littoral est échancré tel une dentelle et nous marchons bien au sec sur les hauteurs entre les vallées. Le spectacle est grandiose, l’eau de mer arbore des couleurs allant du vert au turquoise.

Nous dormons dans des campings tantôt en bord de mer, tantôt à 300 mètres d’altitude. Nous faisons connaissance avec le weka, un oiseau ratite à l’allure sympathique mais qui viendra dévorer toute nourriture laissée sans surveillance. Une vraie peste pour les campeurs quoi.

La forêt cache de nombreuses « cicadas » des cigales qui font un bruit d’enfer. On dit par ici qu’elles annoncent du beau temps lorsqu’elles chantent. À notre grand étonnement, la forêt est bien sèche, pas de traces de boue en vue lors de la première semaine. Nous ne nous en plaindrons pas.

Le sentier longe ensuite la rivière Pelorus. Son eau est couleur émeraude. Elle est si claire qu’on voit le fond en profondeur.

Depuis que nous sommes sur l’Île du Sud, le sentier est plus sauvage, loin de la civilisation. On doit le quitter pour aller en ville. On ne voit plus de pâturages ni d’habitations rurales.

Anatomie d’un sauvetage héliporté

Rendus à notre troisième campement sur le Queen Charlotte Track, bien installés vers 17h, un confrère randonneur se met à éprouver de sérieux maux de ventre. vomissements et diarrhées d’une violence telle que les services médicaux ont été contactés et que la décision fut prise de le transporter à l’hôpital par hélicoptère. Le branle-bas débute, il faut démonter les tentes pour ne pas qu’elles s’envolent à l’arrivée de l’hélico, préparer le malade pour le transport, ranger son matériel. L’opération est délicate car il y a trop de vent pour permettre à l’aéronef de se poser. Vers 22h, ils quittaient le site et nous pouvions remonter nos tentes. Le malheureux randonneur s’en est bien tiré et nous avons pu en profiter pour en apprendre plus sur la gestion des situations de crise.

Quelques jours plus tard, c’était au tour de Françoise d’éprouver des symptômes similaires mais moins violents. Une journée complète de repos et elle était de nouveau sur pied et prête à poursuivre la route.

À l’approche des Richmond Ranges, nous passons à Nelson pour se reposer et se ravitailler. Les six prochains jours seront parmi les plus exigeants du Te Araroa. Changement de chaussures pour Robert, remplacement d’appareil défectueux, lessive, épicerie. Nous éliminons de nos sacs tous les items non essentiels afin de les alléger le plus possible. Les « zero days » ne sont pas toujours de tout repos.

(crédits photos: Françoise Michaud, Robert de l’Etoile)

Carnet 11 – du 9 au 25 janvier 2025, de Nelson à Saint-Arnaud

25 janvier 2025, jour 85, borne kilométrique: 1 978 km.

La communauté des Trail Angels est bien active sur le Te Araroa. Ces personnes dépannent les randonneurs. C’est notre tour de solliciter l’aide de Wendy qui nous conduira de Nelson à l’accès du sentier (Hackett Car Park). Une trentaine de kilomètres de route à faire et nous reprenons le sentier.

Nous attaquons les Richmond Ranges, une des sections les plus exigeantes du Te Araroa. Il nous faudra 6 jours pour les traverser, autant de jours de nourriture à transporter. La météo s’avère excellente, une bénédiction car sinon elle est intransigeante et peut nous immobiliser en chemin pour plusieurs jours.

La forêt change. Il n’y a plus de fougères arborescentes, le sol est sec, et la boue est très rare. Au dessus des 1 000 mètres d’altitude, que quelques bosquets d’arbustes ou d’herbe. Nous alternons entre forêts et sommets dénudés au gré du sentier.

Le deuxième jour fut périlleux en certains endroits, certains passages étant carrément dangereux à l’approche des Monts Rintoul. Au total, 17 km, 1 730 m d’ascension et 1 670 m de descente complétés en un peu moins de 10 heures.

Le soir venu, au refuge, nous faisons connaissance avec les « sandflies ». Ces petites mouches voraces, semblables aux mouches noires québécoises, vous dévorent sur place si vous leur offrez le moindre bout de peau. Impossible d’entrer dans la tente sans en faire pénétrer des dizaines. Heureusement, elles ne nous incommodent pas durant la marche. Mais pourquoi, direz-vous, les appelle-t-on ainsi ? C’est un mystère, d’autant plus qu’ici, c’est la forêt et non la plage qui règne.

Le quatrième jour eut raison de notre résistance. Il nous aura fallu près de 11 heures pour franchir les 18 km de la journée. Nous étions épuisés à notre arrivée au refuge Hunters.

Dans ces montagnes aux sommets dénudés, nous devons négocier les « scree » (petits fragments de roche qui roulent sous les pieds à nous faire déraper), les champs de blocs, les parois verticales, les « sidlings » (petits sentiers étroits le long du flanc d’une montagne avec une descente abrupte vers une rivière d’un côté et une falaise de l’autre) et les précipices avec la plus grande vigilance. Le moindre faux pas, la moindre perte d’équilibre peut signifier une chute fatale au fond du ravin. Il n’y a ni échelle, ni corde, ni rambarde pour sécuriser les passages dangereux.

Il va sans dire qu’en plus de la tension physique, le stress et les émotions fortes s’accumulent et décuplent la fatigue ressentie. Nous avons donc profité du cinquième jour pour faire une courte distance et se reposer avant d’entreprendre le sixième et dernier jour des Richmond Ranges. Jamais à date nous n’avions fait quelque chose d’aussi exigeant et difficile.

L’expérience des Richmond Ranges fut grandiose, nous avons vu des paysages plus grands que nature, mais aussi éprouvante et stressante. Un curieux mélange d’émotions et de sensations nous habite encore.

Nous arrivons avec soulagement à Saint-Arnaud en un seul morceau. Ce petit village de 200 habitants permanents est doté d’un seul hôtel, restaurant et magasin général. Il vit au rythme des randonneurs et des visiteurs de la région. Nous en profitons donc pour prendre un bon repos, manger, beaucoup manger et se ravitailler pour la prochaine section qui s’annonce aussi exigeante que la précédente.

(crédits photos: Françoise Michaud, Robert de l’Etoile)

Carnet 12 – du 26 janvier au 3 février 2025, de Saint-Arnaud à Hanmer Springs.

3 février 2025, jour 94, borne kilométrique: 2 097 km.

Après 3 jours de repos à Saint-Arnaud, je reprends le chemin seul. Françoise a décidé de prendre une pause après la traversée éprouvante des Richmond Ranges.

Il me faudra entre 7 et 8 jours pour atteindre le village de Boyle en traversant des montagnes parmi les plus hautes du Te Araroa.

Le passage du Travers Saddle (1 796 m altitude) fut remarquable. Dans la même journée je passe de la forêt profonde et humide aux sommets dénudés dont certains avec des plaques de neige persistantes. Il fait 5 degrés là-haut mais il fait magnifiquement beau et les vents sont faibles. Certains paysages m’émeuvent tant il sont magnifiques. J’aurais aimé les partager avec mon Amoureuse.

Je croise la borne du 2 000 kilomètres en même temps qu’un groupe de randonneurs bien spécial: la famille Williams. Une jeune famille, Courtney, Andrew et leurs quatre enfants âgés de 6 à 13 ans. Ils parcourent le Te Araroa dans sa totalité. Les enfants sont forts et transportent tous leur sac à dos. Il va sans dire qu’ils sont exceptionnels et sympathiques, en particulier Elliot, le plus jeune, qui a déjà son « Trail name »: Magpie.

L’approche du Waiau Pass fut des plus magnifiques. Le « Blue Lake » ou Rotomairewheuna en particulier, un lac sacré pour les Maori, dont l’eau douce est la plus claire au monde, seulement dépassée par l’eau distillée. Il est interdit de profaner ce lac, ne serait-ce qu’en touchant à l’eau, encore moins en s’y baignant. Mais le plus incroyable à propos de ce lac est sa couleur. Il semble tout droit sorti d’un tableau impressionniste. Son eau bleue est agrémentée d’orange, de vert et de turquoise selon la végétation au fond du lac.

La section suivante se nomme Waiau Pass, le col le plus élevé de tout le Te Araroa à 1 860 m d’altitude. Elle est risquée si la température n’est pas clémente. Au refuge Blue Lake, au petit matin, les prévisions météo n’étaient pas bonnes, il pleuvait des cordes et le brouillard était à couper au couteau. Je suis donc resté bien sage au refuge un jour durant espérant un meilleur jour le lendemain. Le refuge débordait et les randonneurs s’entassaient couchant sur le plancher entre les tables. C’est pour de telles circonstances qu’il est important de transporter plus de nourriture que nécessaire.

Le lendemain, même si le temps était brumeux, les prévisions météo étaient meilleures et les randonneurs et moi prîmes la décision de nous y aventurer quand même. Heureusement, au fur et à mesure de l’ascension, les nuages s’élevèrent dévoilant la beauté des montagnes environnantes. Des scènes émouvantes à voir, me demandant comment j’ai bien pu faire pour me retrouver ici.

Certains secteurs du Waiau Pass étaient techniques et il fallait être prudent mais rien de comparable aux Richmond Ranges.

Une fois redescendu des hauteurs du col Waiau, le sentier longe la rivière Waiau Uwha, parfois d’un côté, parfois de l’autre, la traversant à de multiples reprises.

Pour la première fois depuis que nous sommes sur le Te Araroa, je fais du « wild camping ». Un endroit de rêve à l’ombre des montagnes majestueuses qui m’entourent depuis Saint-Arnaud. Je puise l’eau dans la rivière d’une pureté incroyable. Peut-être le plus beau site de camping où j’ai eu l’occasion de planter ma tente.

Pour une fois depuis de nombreux jours, je marche une bonne vingtaine de kilomètres dans une plaine herbeuse, sans me préoccuper où je mets les pieds, dans un silence que seul le bruit de mes pas sur l’herbe brise et le cri de quelques bernaches du Canada. Une paix et une sérénité m’habite alors que j’approche de Anne Hut.

Déjà 8 jours que je marche seul et mon Amoureuse me manque. Il m’est difficile de ne pas pouvoir partager avec elle les merveilles que je croise en chemin. Nous nous retrouvons bientôt et j’ai bien hâte.

Carnet 13 – du 4 au 10 février 2025, de Hanmer Springs à Arthur’s Pass

10 février 2025, jour 101, borne kilométrique: 2 213 km.

Françoise me ramène au sentier, là où elle m’avait rejoint quelques jours plus tôt. Nous nous disons au revoir, ne sachant pas quand sera la prochaine rencontre. J’ai la gorge serrée.

Les premiers jours après une pause ravitaillement sont toujours difficiles. Le sac à dos est à son plus lourd et il faut remettre la machine en marche.

Le segment entre Boyle Village et Arthur’s Pass n’offre rien d’exceptionnel. Les trois premiers jours sont plats, nous longeons la rivière Hope, puis la Kiwi, plaine herbeuse parsemée de chardons et de matagouris. Le quatrième jour, je remonte la rivière Hurunui jusqu’à Harper’s Pass. Pas très haut, 973 m, pas technique mais une première réelle montée depuis plusieurs jours, c’est toujours exigeant. Les septième et huitième jours sont costauds. Il faut franchir le Goat Pass qui culmine à 1 075 m d’altitude en remontant la rivière Deception puis descendre le long de la rivière Mingha jusqu’à Arthur’s Pass. Je suis fatigué et j’ai faim.

Je suis atteint du « hiker hunger ». J’ai beaucoup maigri et je dois augmenter les portions. J’ai toujours faim et je pourrais manger un boeuf. Je mange maintenant les portions que Françoise et moi nous nous partagions. Lors des pauses en ville, je mange comme un ogre.

Mais au fait, qu’est-ce que je mange sur le sentier. Voici quelques menus que je consomme ces temps-ci:

Pad Thaï du randonneur

2 paquets de nouilles ramen, du beurre d’arachides, des arachides et un peu de sauce piquante.

Mac & Cheese

2 sachets de Mac & Cheese du commerce, un paquet de nouilles ramen et quelques tranches de cheddar bien gouteux.

Wraps mexicains

1 sachet de PVT assaisonné à la mexicaine ou un repas lyophilisé du commerce, des tortillas et quelques tranches de cheddar bien gouteux.

Au petit-déjeuner, du gruau, avec des noix pour agrémenter le goût et augmenter sa valeur calorique, café.

Durant la journée, j’engouffre 3 barres tendres, des noix mélangées, des mangues séchées et des bonbons. Depuis quelque temps, j’augmente la dose en avalant un wrap au fromage en plus.

Il n’y a que le repas du soir qui varie. Il est toujours agrémenté de biscuits en guise de dessert.

Tout est pensé pour que la nourriture soit la plus légère possible car porter 8 jours de bouffe tourne autour de 8 kg, ce qui double le poids de mon sac à dos. Qu’à cela ne tienne, j’apporte quand même quelques items de luxe comme du chocolat.

Sans offrir rien d’extraordinaire, ce dernier segment du sentier contenait quand même quelques perles:

  • Une source thermale secrète que seuls les randonneurs connaissent.
  • Le pont suspendu le plus minimaliste au monde (ou presque).
  • Le plus petit refuge avec 2 couchettes, pas plus grand qu’un minuscule cabanon.
  • Des lits de rivière remplis de roches aux couleurs inusitées.

Carnet 14 – du 11 au 20 février 2025, de Arthur’s Pass à Lake Tekapo

20 février 2025, Suite et fin, jour 111, borne kilométrique: 2 430 km.

Dans quelques jours, il faudra franchir deux rivières géantes: la Rakaia et la Rangitata. Deux rivières tressées dont les lits se mesurent en kilomètres. Ces deux cours d’eau coupent le Te Araroa et n’en font pas partie. La Rakaia ne se traverse pas à moins de nager. Il faut la contourner par la route. Des navettes offrent le service. La Rangitata peut se traverser à gué si son débit n’est pas trop élevé.

Quelques randonneurs et moi formons alors une bulle, question de partager les frais de navettes. Jusqu’à la dernière minute, nous consultons les rapports de débit de la Rangitata. Il n’a pas plu depuis longtemps et son niveau est au plus bas. Nous décidons de la traverser à gué. Nous le ferons en groupe, question sécurité, en veillant les uns sur les autres. La Rangitata est imprévisible et peut gonfler en moins de temps qu’il ne faut pour la traverser.

Après avoir contourné la Rakaia en passant par Methven, la navette nous dépose au début du sentier situé entre les deux rivières. Trois jours de marche nous mèneront à la Rangitata et nous éviterons ainsi un détour routier de 137 km.

La « bulle Rangitata » se met en branle, 9 km de marche pour atteindre l’autre rive de cette rivière tressée. Il faudra traverser une bonne dizaine d’anastomoses entrecoupées de bancs de cailloux.

La chance est de notre côté, il fait beau, à son plus profond, l’eau ne monte qu’à hauteur des genoux et le courant est faible.

Nous croyions en avoir fini avec les passages à gué. C’était sans compter la suite. Le sentier remonte la Bush Stream sur 10 km jusqu’au refuge Crooked Spur. il a fallu la traverser une cinquantaine de fois. Mais comme on dit, une fois mouillés, les pieds ne peuvent pas l’être encore plus.

Les refuges, dans cette section du Te Araroa sont, pour ainsi dire, rustiques. Petits, ils ne contiennent que 6 ou 8 couchettes. Des sortes de cabanes de tôle ondulée qui n’offrent aucun confort si ce n’est que la protection contre les éléments.

C’est au refuge Crooked Spur que je fais connaissance avec le kea, une espèce protégée en Nouvelle-Zélande. Un gros perroquet alpin au plumage vert olive sur le corps et sur les ailes et rouge sous celles-ci. Très futé, curieux et agressif, il s’en prend à tout ce qui traîne dehors y compris les tentes. Au refuge, rares sont ceux qui osent monter leur tente.

Le passage du Stag Saddle, le point culminant de tout le Te Araroa à 1 925 m d’altitude, fut l’un de mes plus beaux moments sur l’Île du Sud. Entouré de montagnes désertiques à perte de vue, sans aucun signe d’activité humaine, je contemplais de mes yeux ce que j’imaginais de la Nouvelle-Zélande. Une nature brute, forte et sans compromis. Ses vents, ses rivières et son climat sont capables du meilleur comme du pire. Une nature qui impose le respect et offre en retour les plus beaux paysages que l’on puisse imaginer.

Mon aventure sur le Te Araroa se termine par une longue marche sur la crête des montagnes vers l’immense lac Tekapo.

C’est à Lake Tekapo que je retrouve Françoise. Nous poursuivrons notre voyage ensemble à visiter les nombreux parcs nationaux et autres beautés naturelles que ce pays a à offrir.

Merci de m’avoir lu. Vos commentaires ont été grandement appréciés. J’espère que ces carnets vous auront inspiré une quelconque aventure.

L

Pour consulter les carnets de l’Île du Nord: Les carnets de l’Île du Nord (Carnets 1 à 9).

Repères

  • Le Te Araroa (the long pathway) est un sentier de longue randonnée qui traverse la Nouvelle-Zélande du nord au sud sur près de 3 040 kilomètres.
  • Nous avons randonné sur le Te Araroa du 2 novembre 2024 au 20 février 2025, de Cape Reinga au nord à Lake Tekapo au centre de l’Île du Sud, une distance de 1 965 kilkomètres en 111 jours.

Si le Te Araroa vous intéresse, n’hésitez pas à communiquer avec nous, il nous fera plaisir de vous fournir des détails et répondre à vos questions.

Carte interactive de notre expédition sur le Te Araroa (cliquez sur le lien pour la consulter)

4 réflexions sur “En Nouvelle-Zélande sur le Te Araroa – Île du Sud

  1. Je me suis délecté de votre récit. J’ai appris plein de mots nouveaux que je crains ne pouvoir jamais utiliser dans leur contexte … hihihi Pohutukawa, ratites, anastomoses, kea, scree, purpura, eddy échaliers… Bravo pour votre détermination et votre courage. Quel merveilleux compte-rendu d’un voyage extraordinaire. Merci du généreux partage ! J’essaie de trouver un moyen de visionner vos merveilleuses images avec plus de résolution ! Tourlou et au plaisir de marcher encore avec vous !

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